Jurisperform : une prépa qui accompagne les juristes de demain

Jurisperform est une société de soutien scolaire pour les étudiants en droit créée en 2016 à Montpellier. En septembre 2024, cette « prépa » fondée par Jonathan Garcia, ancien professeur à la Faculté de droit et son associé, Anthony Julia, fera donc sa 8e rentrée.

Nous avons rencontré Jonathan Garcia et nous lui avons posé quelques questions. Ses réponses intéresseront certainement les futurs (et actuels) étudiants en droit de la Faculté d’Aix-en-Provence.

Illustration Jurisperform

1/ Expliquez-nous en quoi consistent les stages que vous proposez et comment vous est venue l’idée de proposer ce service ?

Il s’agit d’aider les étudiants en droit à être prêts pour la rentrée à leur première année de Faculté de droit avec des stages et du soutien tout au long de l’année.

En médecine ou en droit, ces stages de pré-rentrée organisés par des prépas privées sont devenus au fil du temps une véritable institution qui permet aux étudiants de faire la transition entre le lycée et l’université dans un domaine complètement nouveau.

Nous avons lancé cette prépa avec mon associé, car la demande des étudiants en cours de méthode était de plus en plus forte. En effet, la façon de travailler en Faculté de droit n’a rien à voir avec ce que les étudiants ont connu au lycée. Nous ne nous substituons pas à la faculté, nous aidons les étudiants à maîtriser cette méthode.

De plus, les facultés ont chacune leur propre programme : celui d’Aix-en-Provence n’est pas exactement celui de Montpellier, qui diffère lui-même du programme de la Faculté de droit de Toulouse. C’est pour cette raison que certaines sont plus prestigieuses que d’autres et que nous adaptons le contenu de nos stages.

Par ailleurs, nous adaptons également nos tarifs à nos publics et notamment aux étudiants boursiers qui veulent aller au-delà du tutorat et réussir.

2/ À quel type d’étudiant apportez-vous un réel plus ?

Nous pouvons aider les étudiants motivés et prêts à travailler pour réussir. Il faut savoir qu’il y a 70% d’échec en 1ère année quand notre taux de réussite s’établit, lui, à environ 88%. Réussir la 1ère année permet, en outre, d’éviter de rallonger les études en redoublant une année.

Les profils les plus courants sont les suivants :

  • Des étudiants en difficulté
  • Des étudiants redoublant
  • Des étudiants de bon niveau, mais qui choisissent une filière sélective -notariat, droit pénal, droit des affaires, etc.-.

La sélectivité dans certaines filières prestigieuses s’est d’ailleurs encore accrue depuis la réforme de sélection en master entrée en vigueur il y a 3 ans.

C’est dans cet esprit que nous prévoyons d’ouvrir une prépa L2 à Aix-en-Provence pour la rentrée 2024 en plus de la L1 pour aider les étudiants en 2e année.

3/ Quelles tendances voyez-vous émerger dans les métiers du droit ? Quels sont les métiers d’avenir ? Et pourquoi un étudiant peut-il avoir besoin de vous au regard de ces évolutions ?

Nous observons avant tout une certaine continuité. La qualité des débouchés professionnels dépend toujours de la qualité du master et des établissements. La Faculté d’Aix-en-Provence, par exemple, est très réputée au niveau national.

Les métiers historiques, comme notaires, avocat ou magistrat, ont toujours autant la cote. À cela s’ajoutent des métiers émergents comme commissaire de justice et les métiers autour des nouvelles technologies ou de l’environnement, notamment dans l’urbanisme. Pour autant, les postes dans ces domaines ne sont pas aussi nombreux que dans le droit des affaires, le droit de la famille, le droit pénal ou le notariat.

4/ Comment les étudiants vous connaissent-ils ?

Nous participons à de nombreux salons pour les étudiants, mais c’est de toute évidence notre cheval de bataille.

Pour se faire, nous utilisons tous les canaux de communication possible en dehors de ces salons étudiants et de la reconnaissance : campagnes SMS, journées portes ouvertes, brunchs présentation, mais aussi distribution de flyers à la sortie de la faculté en début de semestre et lors des vacances.

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5/ Quelles sont les problématiques spécifiques auxquelles les étudiants en droit sont particulièrement confrontés ?

La difficulté principale réside dans le passage du monde du lycée à la Faculté de droit. C’est un véritable changement de paradigme et de méthodologie. En outre, il existe une véritable compétition pour accéder à certaines filières très prisées.

Nous aidons les étudiants en plus en leur fournissant des conseils personnalisés en fonction de leurs atouts et de leurs besoins. Certains étudiants ont besoin en outre d’une remise à niveau, car les professeurs ne tolèrent plus les textes pleins de fautes ou l’absence d’enchaînement logique.

6/ Quelles qualités sont requises pour être un bon juriste ?

Il faut avoir un esprit logique et faire preuve de rigueur. Il faut également avoir un bon rédactionnel, l’esprit de synthèse et un bon niveau de culture générale, notamment en vue des concours qui comportent toujours une épreuve de culture générale.

Il faut également être opiniâtre, faire preuve de bon sens et être capable, dans certains métiers par la suite, de prendre du recul. La responsabilité du juriste est considérable et l’émotivité est, par exemple, incompatible avec certains métiers. Il faut être capable de raisonner de façon logique, quelle que soit la situation rencontrée.

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7/ Pourquoi avoir choisi de vous domicilier à Aix-en-Provence et plus précisément dans le centre d’affaires Amadeus ?

La Faculté d’Aix-en-Provence est la 3e faculté à proximité de laquelle nous nous installons en raison d’une forte demande. C’est une faculté reconnue, le niveau d’exigence est élevé et le nombre d’étudiants, important. Cela faisait trois bonnes raisons de nous installer ici, à 2 heures de Montpellier.

En outre, le centre d’affaires Amadeus nous mettait à disposition des salles qui correspondaient à nos besoins, situées idéalement à 5 min des facultés et à côté de la gare routière.

Ajoutez à cela une prestation tout compris – ménage, disponibilité de mobilier, taxe foncière, secrétariat, etc.- et une ambiance cordiale et chaleureuse, tout était réuni pour nous installer ici.

La prochaine étape ? Nous prévoyons de nous installer à Marseille en 2025.

Dynamic Creative, l’agence tradigitale toujours en mouvement

Dynamic Creative est une agence de communication « tradigitale » fondée il y a 25 ans. Son siège social est situé à Aix-en-Provence, au cœur du centre d’affaires Amadeus. L’entreprise a évolué depuis 1999 pour combiner les supports traditionnels et les supports digitaux, d’où le néologisme d’agence « tradigitale ».

Sa mission ? Fournir des solutions de communication complètes, allant de la création de sites internet et la gestion de campagnes d’acquisition (jeux-concours en ligne, newsletters, réseaux sociaux, référencement) à la conception de supports imprimés tels que des logos, cartes de visite, et brochures.

Nous avons donc interrogé Sabine MARC pour en savoir plus

Equipe Dynamic Creative

1/ Racontez-nous votre métier et quel est son intérêt ?

Notre expertise chez Dynamic Creative repose sur une raison d’être simple : concevoir et réaliser des supports de communication papier ou digitaux qui répondent aux besoins spécifiques de nos clients. Notre équipe se compose aujourd’hui de 5 personnes, fidèles et passionnés. Nous sommes spécialistes en communication tradigitale, ce qui signifie que nous intégrons harmonieusement les supports digitaux et leurs équivalents plus traditionnels. Que ce soit à travers la création de sites web optimisés pour le référencement, la gestion des réseaux sociaux, ou la production de supports imprimés de haute qualité, nous apportons une valeur ajoutée significative à nos clients en améliorant leur visibilité et en renforçant leur image de marque. Le papier n’est pas mort, bien au contraire ! Et il peut se marier parfaitement avec le numérique, par exemple grâce à notre QR-code dynamique, que nous proposons systématiquement à tous nos clients.

Contrairement à certaines agences qui se concentrent exclusivement sur une « niche » métier, notre vision à 360° et multisectorielle nous permet de ne pas être enfermés dans un carcan. Cela nous amène à apporter une vraie proposition sur mesure à tous nos clients, dans des domaines aussi variés que le droit, l’hôtellerie, les nouvelles technologies ou encore la formation, par exemple.

2/ A quel type d’entreprise apportez-vous un réel plus ?

Nous travaillons avec une grande variété de clients, allant des indépendants et petites entreprises (TPE) aux grands comptes et institutions. Notre expertise est particulièrement bénéfique pour les PME qui cherchent à accroître leur présence en ligne et à développer des stratégies de communication intégrées. Nous collaborons également avec des agences de communication parisiennes en marque blanche, ce qui témoigne de notre capacité à répondre aux exigences des grandes structures tout en offrant un service personnalisé et performant.

Des sociétés cotées en Bourse nous font confiance pour notre expertise, notamment dans le domaine des campagnes d’acquisition de nouveaux clients via des jeux-concours en ligne, grâce à des mécaniques de jeu ludiques, mais éprouvées et efficaces !

De plus, nous sommes force de proposition lors de toutes les étapes du projet, de la conception à sa finalisation, et notamment en termes de rédaction de contenus. Bien souvent, nos clients ont une vision floue de ce qu’ils veulent dire ou faire passer comme message. Notre expertise depuis 25 ans consiste donc aussi à rédiger pour eux des contenus percutants, alignés avec les standards de l’entreprise et les objectifs commerciaux à atteindre.

Notre proposition de valeur se résume en une phrase : Dynamic Creative, un partenaire plus qu’un prestataire.

agence tradigitale

3/ Quelles sont les tendances que vous voyez émerger dans votre métier ? Comment les demandes des clients évoluent-elles ?

Avec 25 ans d’expérience, nous avons observé plusieurs évolutions majeures dans le domaine de la communication : le passage progressif de la communication papier au numérique, l’essor des smartphones et le changement de « consommation » des sites internet ou encore la percée inéluctable des réseaux sociaux comme canaux de communication directs. Actuellement, nous voyons une montée en puissance des stratégies omnicanales où la cohérence entre les supports digitaux et traditionnels est cruciale. Les clients demandent de plus en plus des solutions intégrées qui incluent la gestion de contenu, le marketing par email, et une forte présence sur les réseaux. La personnalisation et l’interactivité sont également des tendances clés, les clients cherchant à engager plus directement avec leur audience.

4/ Comment voyez-vous l’arrivée de l’intelligence artificielle, qui crée du contenu et peut même écrire du code ?

L’intelligence artificielle représente une opportunité passionnante pour notre métier. Elle nous permet de tester certains concepts en termes de code, d’automatiser certaines tâches répétitives, ou de gagner en efficacité et de libérer du temps pour des activités plus créatives et stratégiques. Par exemple, l’IA peut aider à analyser les données de performance des campagnes et à créer du contenu personnalisé à grande échelle. Cependant, nous croyons fermement que la touche humaine reste indispensable pour garantir la pertinence et l’originalité des publications. La sensibilité reste un élément clé de toute stratégie de communication, et l’IA n’est pas prête de rivaliser avec nous sur ce terrain, et pour longtemps !

5/ Quel est le dernier projet dont vous êtes particulièrement fiers ?

Nous accordons le même soin à tous nos projets, petits ou grands. Cependant, nous sommes particulièrement fiers du travail réalisé récemment pour Le Marché du Plateau, producteur de lavande à Valensole. Nous avons refondu leur site internet marchand (www.lavande-bio.fr) et mis en place une stratégie d’acquisition par email, en combinant articles de blog et gestion des réseaux sociaux. Le résultat ? Une augmentation de 40 % du chiffre d’affaires pour notre client dans les six mois suivant la mise en ligne. Nous sommes d’autant plus fiers de ce projet car il est local, et souvent, nous travaillons en marque blanche pour de grandes agences parisiennes, ce qui fait que notre nom n’apparaît pas. Nous sommes donc très fiers de cette réalisation, mais on peut en citer beaucoup d’autres et dans de nombreux secteurs : dans le domaine de la restauration, nous avons réalisé le site internet du Grand Puech à Mimet pour l’excellent chef Michel Basaldella (www.legrandpuech.fr), mais aussi pour le chef Yann Sandrini qui dirige le restaurant La Truffe dans tous ses états à Bouc-Bel-Air (www.restaurantboucbelair-latruffe.fr). Quoi de plus beau que de travailler pour des clients que nous aimons fréquenter à titre personnel ?

6/ Pourquoi avoir choisi de vous installer à Aix-en-Provence et plus précisément dans le centre d’affaires Amadeus ?

Notre agence est basée à Aix-en-Provence depuis 1999. Nous avons occupé pendant de nombreuses années de magnifiques locaux dans la zone d’activité des Milles. Le COVID et le télétravail ont rebattu les cartes : chaque collaborateur avait alors le même équipement à la maison et au bureau. Nous avons l’habitude depuis de nombreuses années d’utiliser les solutions numériques collaboratives telles que les réunions ou visio ou le partage de documents, notamment avec nos clients parisiens. La transition s’est faite en douceur, d’abord à la demande des salariés, jusqu’à  la fin de notre bail. Par la suite, il était très important pour nous de conserver un attachement fort à la ville qui nous a vu naître et dans laquelle nous habitons en grande partie !

C’est pourquoi nous avons choisi le centre d’affaires Amadeus, qui offre un cadre idéal pour notre siège social grâce à son emplacement stratégique. La possibilité de disposer d’un bureau ponctuel en cas de besoin est un vrai plus, notamment pour certains clients qui arrivent à Aix en train, en bus ou en voiture, et qui ont la possibilité d’accéder facilement et rapidement à notre lieu de rendez-vous. L’accueil est toujours agréable et le cadre propice au travail bien fait !

Laetitia LATIL – Hopono : « nous allons lancer un label pour sécuriser les lieux de fête »

Un « hub de services » : c’est ainsi que l’agence Hopono est conçue. Fondée il y a plus de 10 ans par deux frères, Jimmy et Joffrey, l’agence s’est d’abord spécialisée dans l’événementiel avant de se diversifier pour répondre aux demandes de ses clients. Ainsi aujourd’hui, neuf collaborateurs gèrent six prestations qu’on pourrait classer en deux grandes catégories :

  • La création d’événements, les séjours en groupe et les outils de prévention,
  • Et les objets personnalisés et textiles personnalisés.

Arrivés dans le Centre d’Affaires Amadeus depuis quelques mois, nous avons voulu en savoir un peu plus. Laetitia LATIL, leur responsable de communication, a bien voulu répondre à nos questions.

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En quoi consiste votre métier en quelques mots ?

Notre premier métier consiste à créer et organiser des événements pour des entreprises -séjours, séminaires, team building, journées d’études, soirées de lancement ou de fin d’année, etc-, mais aussi pour les facultés et les étudiants – galas, afterworks, week-ends d’intégration, week-ends ski, week-ends de désintégration-. Les prestations peuvent être très différentes de l’un à l’autre.

Par ailleurs, nous sommes la franchise Aix-Marseille d’IME, Ideal Meeting Event, une société française de conseil et de mise en relation de lieux et de prestataires dans l’événementiel.

Notre deuxième métier est la communication par l’objet. Il est important de souligner que nous nous inscrivons d’ailleurs dans une dynamique RSE volontariste. Tous nos fournisseurs sont européens et la personnalisation se fait en France. Bien entendu, nous prenons en compte le budget et la demande du client mais nous orientons au maximum, lorsque c’est possible, vers des matériaux recyclables et éco-responsables, des entreprises qui travaillent sur l’inclusion et une production locale.

Nous sommes en capacité d’aider les sociétés à s’engager dans une démarche durable, d’autant que nous proposons une prestation de communication à 360°. Nous avons donc une vision d’ensemble sur le sujet.

Qui sont vos clients ?

Nos clients sont très divers et variés. La majorité d’entre eux se situent dans la région PACA. Nous travaillons aussi bien avec des grandes entreprises qu’avec des entreprises de taille moyenne. Nous pouvons répondre à tous types de demandes, en réalité.

S’agissant des soirées et autres événements étudiants, ce sont les BDE des facultés qui nous contactent. Nous avons des partenariats avec tous les bars et restaurants d’Aix-en-Provence.

Certains de nos clients sont présents depuis le début, et les nouveaux nous découvrent soit par le bouche-à-oreille, soit par internet – référencement naturel, réseaux sociaux- où nous sommes présents, ou encore via des salons sur l’événementiel

Nos clients nous choisissent parce que nous ne nous contentons pas d’envoyer un catalogue et d’enregistrer un bon de commande. Nous mettons un point d’honneur à accompagner nos clients dans leur choix, nous les rencontrons, et nous les conseillons.

Quelle tendance constatez-vous dans votre métier et quels sont les enjeux à venir?

Nous recevons de plus en plus de demandes d’événements dans des lieux plus engagés et responsables. Il se trouve que nous avons référencé des acteurs dans ce domaine. Les comités d’entreprise s’orientent également d’eux-mêmes davantage vers des matériaux plus responsables pour leurs textiles et leurs goodies.

Par ailleurs, après l’épidémie de COVID, nous remarquons que la préférence des entreprises va à une multiplicité d’événements de moyenne envergure tout au long de l’année plutôt qu’un seul événement annuel très important. Le budget est relativement stable, mais il est investi différemment.

Concernant les goodies, certains classiques -sweat, t-shirt…- perdurent mais d’autres, à base de plastique notamment, n’ont plus du tout la cote. Cela devient même mal vu auprès des collaborateurs.

On constate un net intérêt en revanche pour les goodies high tech et les accessoires en matières naturelles pour la constitution de boxes de bienvenue ou de boxes de Noël.

D’ailleurs, le coût devient un frein pour certaines entreprises mais à nous de leur prouver que c’est un investissement utile pour leur image. D’autres au contraire ont parfaitement saisi le potentiel d’une telle démarche auprès de leurs collaborateurs et choisissent leur événement ou leur goodies en fonction de cet aspect.

Quelles qualités humaines sont nécessaires pour l’événementiel ?

En premier lieu, il faut être réactif parce qu’il y a de la concurrence sur le marché, c’est un fait. Il faut savoir se distinguer, proposer ce que les autres ne proposent pas.

Il faut aussi être toujours en veille et à l’affût des nouvelles tendances dans les activités, les goodies parce que les entreprises et les facultés sont à la recherche de la nouveauté chaque année.

Il faut être organisé, précis. Il faut aussi participer aux événements pour vérifier que tout se déroule correctement. Il faut être à l’écoute du client aussi et entretenir la relation avec lui.

Qu’est-ce que l’agence Hopono fait pour la prévention en milieu festif ?

On travaille sur la prévention en milieu festif suite aux problèmes survenus ces dernières années dans les bars et les lieux festifs. Nous fournissons ainsi les éthylotests et des protections de verres.

De plus, nous avons comme projet de créer la Fédération Hopono et un label qui permettra de sécuriser les lieux festifs d’Aix-en-Provence. Une application mobile indiquera ces lieux qui devront suivre un cahier des charges spécifiques – objets préventifs, protocoles de surveillance, etc- et passer des contrôles.

C’est gagnant pour les lieux de fêtes, qui pourront ainsi se distinguer et rassurer les usagers, c’est gagnant pour nous car c’est tout notre métier qui est concerné, et c’est bien évidemment gagnant pour les usagers eux-mêmes, qui pourront faire la fête l’esprit tranquille.

Nous allons ainsi former gratuitement des acteurs de la restauration et de la vie nocturne, et ce label sera lancé dans les prochains mois.

Pourquoi avoir choisi le centre d’affaires Amadeus d’Aix-en-Provence ?

Il était logique pour nous d’avoir des bureaux en plein centre d’Aix-en-Provence. C’est un lieu idéal pour les collaborateurs, qui habitent tous à proximité, et pour recevoir.

Nous apprécions tout particulièrement la terrasse pour inviter nos clients dans un cadre agréable.

Tiphaine de Comptoir Universel de l’Or : « Après Le Monde, les avis de Google parlent pour nous ! »

Le Comptoir Universel de l’Or est une société de rachat d’or créée par deux professionnels de la bijouterie. Aujourd’hui, l’entreprise compte de nombreuses agences à Rouen, Paris, Dijon, Châlon, Gap, Aix-en-Provence, et plusieurs à Marseille. Leur métier ? Racheter des métaux précieux et les revendre à un fondeur qui les recycle s’il s’agit de bijoux, ou les revend s’il s’agit de lingots et pièces d’or.
Nous avons posé quelques questions à Tiphaine, la responsable du bureau d’Aix-en-Provence.

En quoi consiste votre métier en quelques mots ?

Cela consiste à racheter des bijoux, des lingots, des lingotins [petits lingots de 5g à 500g, NDLR] et des pièces d’or à des particuliers pour les revendre à des fondeurs.

Le principe est simple, mais nous faisons face à de plusieurs difficultés. Pour commencer, les sociétés de rachat d’or ont mauvaise presse. Le Comptoir Universel de l’Or, contrairement à d’autres, n’a pas pignon sur rue, il faut nous chercher pour nous trouver. Dernièrement, Le Monde a tout de même écrit, en parlant de sociétés de rachat d’or : « Le plus généreux est le Comptoir Universel de l’Or ». Notre objectif n’est pas de réaliser la plus grande marge, mais plutôt d’avoir bonne réputation et de nous faire connaître du plus grand nombre. Par ailleurs, recevoir dans un bureau et non une boutique rassure parce que cela garantit une certaine confidentialité et une certaine discrétion. L’un des dirigeants du Comptoir Universel de l’Or tient une bijouterie et connaît parfaitement les dangers inhérents à ce secteur.

Lorsqu’un client nous présente ses bijoux, je vérifie en premier lieu les poinçons de 9, 14, 18 ou 22 carats, seuls les lingots pouvant être de 24 carats. En l’absence de poinçon visible, nous utilisons un autre procédé chimique, sans conséquence pour le bijou, qui nous permet de savoir s’il s’agit bien d’or et de combien de carats il s’agit.

Ensuite nous procédons à la pesée des bijoux devant le client sur une balance contrôlée chaque année par un organisme indépendant. Nous lui annonçons ensuite un prix non pas en fonction du dernier fixing, soit le cours de l’or donné par la bourse de Londres à 11h30 et à 15h30, mais en fonction du cours en temps réel pour être au plus juste.  Si le client accepte le tarif proposé, je prends ses bijoux en photo, j’émets une facture, et j’inscris la transaction dans mon livre de police dans lequel tout est consigné. Le client signe alors un contrat de rétractation qui lui permet d’annuler la transaction à condition que nous n’ayons pas desserti ses bijoux.

 

Cours du lingot d’or :

– au 10 novembre 2022 : 54 887 €

– au 1er janvier 2023 : 55 470 €

 

Le cours de l’or depuis mai 1999

Qui sont vos clients ?

Nous recevons tous types de profils, de tous milieux sociaux et malgré les apparences, c’est un métier à forte dimension sociale. Certains amènent des bijoux cassés, d’autres des bijoux qu’ils ne mettent plus.

Aujourd’hui, des mères ou des grands-mères vendent des bijoux de famille au lieu de les transmettre. D’ailleurs, la vente de ces bijoux a souvent fait l’objet d’une réunion familiale et les gains sont partagés.

Certains revendent leurs bijoux parce qu’ils ont peur de les porter.

Il faut savoir qu’au début, les agences de rachat d’or pouvaient payer en liquide. Cela a favorisé les vols à l’arraché.

Depuis quelques années, le « livre de police » permet de retracer toutes les informations relatives à une transaction permettant le cas échant de remonter jusqu’au vendeur du bijou. D’ailleurs, spontanément, certains particuliers victimes de cambriolage me contactent pour savoir si on m’a présenté un de leurs bijoux après un cambriolage, mais les dernières règles en vigueur dissuadent les voleurs de venir chez nous.

Parfois, cela fait suite à un décès ou à un divorce. Parfois, les personnes sont dans le besoin et certaines situations sont dramatiques. Les gens vendent aussi davantage leurs bijoux lorsqu’il y a une recrudescence de cambriolage, ou avant de partir en vacances.

Je me souviens d’une jeune femme qui était venue avec son père. Sa mère venait de décéder et elle avait hérité de ses bijoux. Son père étant un ancien sapeur-pompier et étant très peinée de vendre ces bijoux, elle a décidé de faire don du fruit de la vente à une association des enfants de pompiers. Cela a permis à ce père et sa fille de transformer un moment très triste en un moment de joie partagée.

Quelle évolution constatez-vous dans votre métier ?

Cela fait environ 20 ans qu’il est possible de racheter de l’or. Aujourd’hui, vous ne pouvez plus vendre des bijoux sans pièce d’identité et encore moins être payé en espèces, pour commencer.

Lorsque j’ai commencé à travailler dans ce domaine, le cours du lingot d’or s’établissait à 40 000€. Aujourd’hui, il atteint 55 000€. Il n’a jamais été aussi haut depuis environ 60 ans. Généralement, plus il y a des crises, plus la valeur de l’or augmente. C’est une valeur refuge.

Par ailleurs, il y a très peu de personnes qui vendent leurs bijoux en or dans certaines régions, plus conservatrices.

Le saviez-vous ?

Depuis la loi du 17 mars 2014 relative à la consommation, lorsqu’un professionnel achète des métaux précieux à un consommateur, le paiement doit être effectué uniquement par chèque barré au nom du consommateur vendeur ou par virement à un compte ouvert au nom du consommateur. (Source : economie.gouv.fr)

 

Qualités humaines pour le rachat d’or

De mon point de vue, il ne faut pas presser les gens. Lorsque je sens une personne hésitante, je n’insiste jamais, le but étant qu’au final, le client soit content et rassuré. Parfois ce n’est ni anodin ni simple de vendre des bijoux.

De façon générale, c’est un métier très intéressant. Il nécessite de l’empathie, de la patience. Il faut savoir faire preuve d’écoute, mais aussi être rigoureux.

Pourquoi avez-vous choisi de vous domicilier au centre Amadeus d’Aix-en-Provence ?

Nous voulions recevoir les clients dans un cadre confidentiel et j’apprécie le principe du centre d’affaire avec un accueil de qualité des clients tel que celui du Centre d’Affaires Amadeus. De plus, l’adresse est centrale et il est facile de s’y rendre pour les Aixois, comme pour les autres.

Orianne MEZARD, d’Ad Hoc Intérim : « trouver le bon candidat pour le bon poste »

Ad Hoc Intérim est une agence d’emploi depuis 17 ans ; en d’autres termes, AD HOC intérim recrute des candidats en intérim ou en CDI pour des entreprises utilisatrices et les accompagne du recrutement à la fin de leur mission, et même après.  

Basée à Aix-en-Provence et à Lançon de Provence, composé d’une équipe de 6 collaborateurs, Ad Hoc Intérim travaillait historiquement et exclusivement dans le ferroviaire sur le territoire national ; puis s’est diversifiée depuis 3 ans dans tous les secteurs d’activité à l’exclusion de la santé et l’événementiel.

Nous avons rencontré Orianne MEZARD, sa directrice générale depuis 3 ans.

Qui sont les clients d’Ad Hoc Intérim ?


Nous travaillons aussi bien avec des TPE que des PME, qui ont des besoins de main-d’œuvre complémentaires que ce soit pour des missions de courte ou de longue durée. Nous travaillons dans la France entière pour l’activité ferroviaire et dans la région PACA pour toutes les autres activités. Nous recrutons toutes les catégories sociaux-professionnelles, de l’ouvrier au cadre supérieur, de la personne sans diplôme en insertion au bac+5 avec expérience.

Nous rencontrons des difficultés à pourvoir toutes les demandes, car la région atteint quasiment le taux de plein emploi. Les difficultés à recruter ne sont pas nouvelles, mais la tendance s’accentue : il est de plus en plus compliqué de trouver des candidats.

Quels sont les plus grands challenges dans votre métier ?


En premier lieu, je dirais que le premier challenge de notre métier est de trouver le bon candidat pour le bon client. Cela fait partie des valeurs d’Ad Hoc.

Pour cela, c’est indispensable de connaître l’entreprise utilisatrice ; et je refuse de travailler avec une entreprise que nous n’avons pas visitée et rencontrée, pour valider certaines valeurs en amont. Nous ne travaillons pas avec des sociétés qui ont des pratiques discriminatoires. Evidemment, certaines sélections sont justifiées par des motifs physiques évidents qui mettraient en difficulté le candidat ou la candidate.

Par ailleurs, nous nous assurons également que les conditions de travail sur site sont sécurisées, que l’entreprise utilisatrice a une politique de prévention des risques respectée et que le management est bienveillant.

Nous tenons à rencontrer les recruteurs pour travailler avec eux sur leur attente en matière de savoir-être et savoir-faire, et ainsi leur proposer le candidat le plus proche de leur besoin.
De manière générale, nous visons la qualité du recrutement et non la quantité de CV envoyés. L’objectif final est de placer les candidats sur le long terme.

Qu’est-ce qui vous motive le plus ?


Trouver le bon poste pour la bonne personne. J’aime cette phrase de Confucius : « Choisis un travail que tu aimes, et tu n’auras pas à travailler un seul jour de ta vie ».

Je suis arrivée dans cette société il y a trois ans et je l’ai reprise en mai de cette année. J’arrivais du secteur bancaire, 20 ans de carrière et de bonheur. Un de mes clients n’était autre que l’ancien fondateur d’Ad Hoc Intérim, qui m’a proposé de prendre la direction de la société. Envie d’un nouveau challenge, et de plus d’humain, j’ai accepté.

Ad hoc Intérim est une société rentable, que j’ai modernisée depuis et fait évoluer vers de nouveaux secteurs d’activité. Tout cela avec le soutien de mon équipe, qui s’adapte sans cesse à nos changements.

Quelles évolutions constatez-vous dans le marché de l’emploi ?

De manière générale, avant, les recruteurs prenaient en compte le savoir-faire via le CV. Maintenant, le savoir-être est la priorité. Les entreprises sont prêtes à former des personnes qui n’ont pas forcément toutes les qualifications, mais respectent leurs valeurs : être ponctuel, respectueux de l’organisation, des règles de sécurité et du matériel, avoir une tenue correcte et porter les EPI si nécessaires, écrire un mail sans faute, etc…

Outre le temps consacré aux recruteurs par l’équipe AD HOC INTERIM, je prends personnellement le temps d’échanger avec les candidats, de parler de leurs points forts mais aussi de leurs axes d’amélioration. Notre relation est basée sur la transparence et le respect. Être une femme, et aussi une maman, m’aide parfois à désamorcer certaines situations.

L’autre évolution que j’observe est la tendance du marché de l’emploi clairement en faveur des candidats. Les candidats qui répondent aux critères des entreprises utilisatrices sont rares et aujourd’hui, les entreprises sont plus ouvertes à la négociation. C’est une bonne chose. C’est toujours une bonne initiative d’être dans le dialogue et de valoriser les salariés.  Vous pourrez demander aux permanents d’Ad Hoc Intérim, ils sont super productifs et en sont récompensés, tout comme Ad Hoc Intérim. Tout le monde est gagnant.

D’ailleurs, les salariés acceptent d’autant mieux les exigences de leur métier qu’ils ont reçu la reconnaissance qui leur était due auparavant.

Comment voyez-vous l’avenir d’Ad Hoc Intérim ?

La sécurité étant une de nos priorités, nous enclenchons la préparation de la norme MASE sur 2023 pour une certification en fin d’année. Cette norme nous permet aussi d’avancer vers les normes RSE, conformément à nos valeurs.

Nous prévoyons aussi d’agrandir l’équipe en 2023.

Nous continuerons également de promouvoir le sport, notamment en étant mécène auprès de la Fondation du sport français. Dans ce cadre, nous soutenons notamment Arnaud ASSOUMANI, athlète des Jeux paralympiques. C’est une personne admirable, brillante, et combative. Arnaud ASSOUMANI incarne nos valeurs. Nous sponsorisons aussi Christophe Llamas, champion du monde déca-triathlon (10 x triathlon, rien que ça), un battant.

J’aimerais aussi aider des artistes vivants par l’acquisition et l’exposition d’œuvre d’art.

Nous aimons aller au-delà de nos limites et relever des défis.

Enfin, pourquoi avoir choisi le centre Amadeus pour l’une de vos domiciliations ?

Je cherchais des bureaux sécurisés, avec une adresse facile d’accès, des parkings à proximité.

J’ai trouvé le centre d’affaire Amadeus. Et en plus, il dispose d’un accueil humain avec un suivi personnalisé. Je ne voulais pas seulement un bureau. Les services et la convivialité du centre Amadeus m’ont convaincue de rester.

GEMA : former aux métiers d’avenir pour aider les entreprises d’aujourd’hui

Pour former les cadres des entreprises qui réussiront demain, il faut des formations adaptées aux tendances émergentes.

Développement durable, intelligence artificielle et gestion de la data sont déjà des sujets majeurs pour nombre d’entreprises mais, c’est un fait, les candidats formés à ces sujets sont encore très rares et celles-ci peinent à trouver leurs cadres de demain.

C’est précisément pour répondre à cette problématique que David DERKX a créé en 2017 le groupe GEMA qui comprend deux écoles délivrant des diplômes reconnus bac+1 à bac+5, l’ESI Business School, qui forme des managers experts en développement durable, et l’IA School, qui forme des managers experts en intelligence artificielle et en data.

Et visiblement il a vu juste puisque le groupe annonce que plus de 80 % des étudiants trouvent un emploi dans les 6 mois après l’obtention de leur diplôme.

Elsa Martin, Responsable Carrières et Relations Entreprises a pour mission de nouer des partenariats avec des entreprises pour placer les étudiants du Groupe GEMA en stage, ou en alternance. Elsa a accepté de répondre à nos questions.

Pouvez-vous nous présenter le groupe GEMA ?

« Le Groupe GEMA, qui signifie Grandes Ecoles des Métiers d’Avenir, rassemble deux écoles de management, l’ESI Business School et l’IA School, respectivement spécialisées dans le développement durable et l’intelligence artificielle ainsi que la data.

Leur point commun est d’être tournées vers les métiers d’avenir. C’est l’identité du groupe. Tout a commencé avec le campus situé à Boulogne-Billancourt, en 2017. A la rentrée 2021, nous avons ouvert les campus de Bordeaux, Lyon ainsi qu’un campus en e-learning. Il est important de préciser que ce campus en e-learning est un cursus avec des cours en direct et non des moocs*, et que cela permet à tous les étudiants de France d’accéder aux mêmes diplômes que les autres étudiants.

Le Groupe GEMA, fort de son dynamisme et de sa croissance, a vu son nombre d’étudiants augmenter de façon constante. Ainsi, l’ouverture de nouveaux campus à Lille, Nantes et Aix-en-Provence pour la rentrée de septembre 2022 apparaissait comme une suite logique.

Par ailleurs, nous offrons également la possibilité aux élèves de rejoindre nos cursus en rentrée décalée à partir du mois de janvier sur tous nos campus physiques et en ligne. »

Les écoles du Groupe GEMA sont-elles des écoles d’enseignement supérieur comme les autres ?

« Nous proposons des bachelors en 3 ans et un mastère en 2 ans reconnus par le ministère du Travail (titres RNCP).

Nous proposons également des cursus, notamment en MBA, pour des personnes en reconversion professionnelle.

Nos cursus sont tous ouverts à l’alternance dès le début sur un rythme de 3 jours en entreprise et 2 jours à l’école. Les frais de scolarité sont alors pris en charge par l’entreprise et l’étudiant reçoit une rémunération. L’aide de l’État en faveur de l’apprentissage étant reconduite, les entreprises auront encore plus de facilités à recruter sous ce type de contrat.

Le mot du Président du groupe GEMA :

« L’éducation est un secteur à la fois passionnant et en pleine mutation. Je voulais créer une école dans des secteurs d’avenir, des métiers qui ont du sens, le Développement Durable et l’IA, afin de créer des vocations et permettre à des milliers de jeunes de s’insérer professionnellement. »

David DERKX

Enfin, nous avons nous aussi des partenariats avec des entreprises, de la TPE à la multinationale, ainsi qu’avec de nombreuses universités dans le monde pour permettre aux étudiants des échanges académiques à l’international.

Afin de les accompagner dans leur recherche d’alternance, nous proposons aux élèves des séances de coaching collectif et individuel en plus de leurs cours : ateliers CV, simulation d’entretien de motivation, aide aux lettres de motivation… Dans le cas où les étudiants font le choix d’un cursus en initial, des périodes de stages sont rendues obligatoires chaque année. L’objectif est de proposer à la génération d’étudiants qui arrive d’acquérir un maximum de compétences et outils pour devenir des acteurs du monde de demain.

 

Exemple de matières enseignées au sein des écoles GEMA :

  • ESI Business School :
    • Management QHSE (ISO 9001, 45001)
    • ISO : 45001, 14001, 26000
    • Management de la RSE
    • Techniques de vente & de négociation
  • IA School :
    • Visualisation de données / dashboarding avec Tableau Sofware/ Power BI
    • SQL avancé
    • Mathématiques avancés.

Chaque année, les étudiants doivent s’engager dans un projet humanitaire. Ils sont invités à mettre en œuvre en groupe un projet en lien avec une association -bibliothèque collaborative, récolte de produits de 1ère nécessité -hygiène, alimentation, etc.

Tout au long de l’année, les étudiants sont donc immergés dans la création de projets scolaires et extra-scolaire pour développer leur employabilité. Le Groupe organise également des conférences, concours d’éloquence et appels à projets pour faire vivre la vie des étudiants sur les campus. »

Comment GEMA voit-il l’avenir ?

« Tous nos intervenants viennent du monde professionnel, consultants, experts, etc. La formation permet aux étudiants de répondre aux besoins des entreprises – notamment pour être recrutés en tant qu’animateurs QSE, responsables RSE, data analysts, data scientists etc. C’est pourquoi les profils de nos étudiants sont très recherchés. Le groupe est en pleine croissance et ne s’arrêtera sûrement pas là. »

Enfin, pourquoi GEMA a-t-il choisi le centre d’affaires Amadeus pour s’installer à Aix-en-Provence ?

Le centre Amadeus est idéalement placé dans le centre d’Aix, proche de la gare routière. Il nous permet d’être dans un espace serein avec un accompagnement bienveillant en attendant la fin des travaux du campus d’Aix-en-Provence qui se situera à deux pas de la Rotonde ; un lieu attractif et de renom pour les étudiants !

 

Campus d’Aix-en-Provence :
5 Boulevard de la République, 13100 Aix-en-Provence
04 12 08 00 50

 *Mooc : Massive Open Online Course, conférence filmée et pré-enregistrée